Latest

Métamorphoses, le Blog

Créer un rituel corporel : intégrer la danse libre ou les micro-mouvements dans son quotidien
  • Article publié sur le site:
  • Auteur de l'article: Aurélie Kouéta
  • Étiquette de l'article: danse thérapie
  • Les commentaires sur les articles comptent: 0
Créer un rituel corporel : intégrer la danse libre ou les micro-mouvements dans son quotidien
Pourquoi le corps a besoin de bouger chaque jour Notre corps n’est pas qu’un support : il influence directement notre énergie, notre humeur et même notre créativité. Des recherches en neurosciences montrent que le mouvement stimule la concentration, réduit le stress et améliore la vitalité. Par exemple, une étude de Stanford (2014) a montré que marcher augmente de 60 % la créativité par rapport au fait de rester assis. Dans un quotidien souvent rythmé par la sédentarité, instaurer de petits rituels corporels est une manière simple de retrouver dynamisme et équilibre émotionnel. Les micro-mouvements : de petits gestes aux grands effets Pas besoin d’un grand espace ou d’une séance sportive : de simples micro-mouvements suffisent. Étirements, ondulations des épaules, respiration profonde avec balancement du buste… Ces gestes réveillent le corps, relâchent les tensions et apaisent le système nerveux. Conseil pratique : toutes les 90 minutes, levez-vous, étirez vos bras et respirez profondément pendant deux minutes. C’est un petit rituel qui aide à rester centré et à retrouver de l’énergie. La danse libre : exprimer ses émotions en mouvement La danse libre ne demande ni technique ni performance : il s’agit simplement de laisser son corps bouger spontanément, au rythme de la musique ou même du silence. Quelques minutes suffisent pour libérer des tensions et changer d’état intérieur. Exemple : mettre une chanson énergisante et danser librement 5 minutes en rentrant chez soi. Cela aide à « déposer » les tensions de la journée et à retrouver une légèreté émotionnelle.  Créer son rituel au quotidien Le secret d’un rituel corporel est la régularité. Quelques idées faciles à intégrer dans la vie de tous les jours : 🔵Commencer la journée par 3 minutes d’étirements doux et de respiration ; 🔵Danser librement sur une musique qui vous inspire avant un moment important ; 🔵Prendre une « pause mouvement » au milieu de la journée pour relancer l’énergie ; 🔵Clore la journée avec quelques gestes fluides pour apaiser le mental avant de dormir. Les bienfaits d’un rituel corporel quotidien Pratiquer régulièrement la danse libre ou les micro-mouvements apporte des bénéfices tangibles, confirmés par plusieurs études en psychologie et neurosciences : 🔵Réduction du stress : bouger active le système parasympathique et diminue la production de cortisol (hormone du stress) ; 🔵Amélioration de l’humeur : le mouvement stimule la libération d’endorphines, favorisant un état de bien-être et de vitalité ; 🔵Renforcement de la créativité : une étude de Stanford (2014) montre que le mouvement, même modeste, augmente la pensée créative de 60 % ; 🔵Meilleure conscience corporelle : ces rituels aident à écouter ses signaux internes (fatigue, tension, énergie), favorisant un meilleur équilibre de vie ; 🔵Soutien émotionnel : exprimer ses ressentis par le corps permet de relâcher des émotions bloquées et d’apaiser le mental. Mon accompagnement : du geste à l’expérience intérieure J’accompagne les personnes individuellement et en groupe à intégrer ces pratiques dans leur quotidien, à travers : 🔵Des séances guidées de danse libre pour reconnecter au plaisir de bouger et libérer les émotions ; 🔵Des protocoles simples de micro-mouvements pour réguler le stress et apaiser le mental ; 🔵Des ateliers collectifs qui transforment le mouvement en ressource d’ancrage et de vitalité. Un allié pour l’énergie et la créativité Qu’il s’agisse de quelques gestes ou de danse libre, le mouvement quotidien agit comme une respiration intérieure. Ces rituels deviennent des repères simples qui nourrissent le bien-être et la créativité, sans effort ni contrainte. Et si, chaque jour, vous offriez à votre corps ces quelques minutes de mouvement pour lui dire « merci » ?
En savoir plus
quete de sens au travail
  • Article publié sur le site:
  • Auteur de l'article: Aurélie Kouéta
  • Étiquette de l'article: Vie Professionnelle
  • Les commentaires sur les articles comptent: 0
La quête de sens au travail : mythe ou réalité à construire ?
Un enjeu qui dépasse salaire et statut Le rapport au travail a profondément changé. Pour de nombreux salariés, la rémunération et le statut ne suffisent plus à justifier un engagement durable. La quête de sens est devenue une exigence, qui influence directement le recrutement, la fidélisation et la marque employeur. Les chiffres qui parlent Selon le Deloitte Global Survey (2024), 62 % des jeunes actifs choisiraient un employeur aligné avec leurs valeurs plutôt qu’une meilleure rémunération. En France, le baromètre Cegos (2023) indique que 70 % des salariés déclarent que le sens du travail est leur première source de motivation, devant la rémunération. Le phénomène s’accélère : une étude McKinsey (2022) révèle que près de 2 salariés sur 3 réfléchissent à quitter leur poste s’ils ne trouvent pas de sens à leurs missions. Ces chiffres soulignent que la quête de sens n’est pas une mode passagère, mais une lame de fond durable. Un besoin universel, amplifié par les crises Les psychologues du travail soulignent que le besoin de sens est profondément enraciné dans la motivation intrinsèque : se sentir utile, contribuer à un projet plus grand que soi, avoir de la cohérence entre valeurs personnelles et valeurs de l’entreprise. La pandémie de COVID-19, suivie des vagues d’incertitude économique et géopolitique, a agi comme un révélateur : beaucoup ont réévalué leur rapport au travail et refusent désormais le « vide de sens ». Ce questionnement est d’autant plus marqué chez les jeunes générations, mais il touche aussi les cadres expérimentés en quête de cohérence ou de reconversion. Il ne s’agit donc pas d’un caprice générationnel, mais d’un mouvement global qui redéfinit la relation au travail. Quand le sens manque : l’onde de choc des départs Depuis la pandémie, de nombreux salariés ont fait le choix radical de quitter leur poste pour se réinventer. Ce phénomène, parfois surnommé « la grande démission » ou comparé au rêve de devenir berger dans le Larzac, traduit une volonté de rupture avec des environnements jugés vides de sens. En France, selon la Dares (2022), près de 520 000 démissions ont été enregistrées au premier trimestre 2022 — un niveau historiquement élevé. De son côté, le think tank Institut Sapiens estime que près de 1 actif sur 5 a envisagé une reconversion vers des métiers perçus comme plus porteurs de sens, souvent en lien avec la nature, l’artisanat ou l’accompagnement humain. Si tous ne franchissent pas le pas, cette tendance illustre la profondeur de la quête actuelle : le sens prime parfois sur la sécurité ou la rémunération, et les entreprises doivent en tenir compte si elles veulent fidéliser durablement leurs équipes. Quête de sens et dynamique collective La quête de sens n’est pas seulement individuelle. Elle impacte aussi la dynamique collective : une équipe motivée par des valeurs partagées est plus engagée, plus créative et plus résiliente. À l’inverse, l’absence de sens engendre désengagement, turnover et climat social dégradé. Selon Gallup (2023), le désengagement lié au manque de sens coûte plus de 7 800 milliards de dollars par an à l’économie mondiale. Ce constat explique pourquoi la question du sens est devenue une priorité RH et stratégique. Elle touche autant la définition des missions, la communication managériale, que la manière d’accompagner les trajectoires professionnelles. Les défis pour les entreprises Répondre à cette exigence de sens pose plusieurs défis concrets aux organisations : 🔵Alignement entre discours et réalité : les salariés détectent rapidement l’écart entre des valeurs affichées et les pratiques réelles. 🔵Clarté des missions : un collaborateur a besoin de comprendre en quoi son rôle contribue à l’ensemble du projet collectif. 🔵Espaces de dialogue : offrir des lieux où chacun peut exprimer ses aspirations et co-construire son parcours. 🔵Adaptation managériale : former les managers à donner du sens au quotidien, à travers feedbacks, reconnaissance et transparence. Mon accompagnement : transformer la quête de sens en levier de bien-être au travail J’accompagne les professionnels et les entreprises à dépasser le discours pour incarner la quête de sens au quotidien. Concrètement, cela passe par : 🔵Des bilans de compétences pour aider les collaborateurs à clarifier leurs aspirations, identifier leurs ressources et aligner leur trajectoire avec leurs valeurs ; 🔵Des séances de PNL pour travailler la motivation, renforcer la confiance et transformer le doute en énergie constructive ; 🔵Des ateliers collectifs pour faire émerger une vision partagée, renforcer la cohésion et relier les missions quotidiennes à un projet commun ; 🔵Une stratégie de communication interne pour assurer la cohérence entre valeurs affichées et pratiques vécues. Ces approches permettent de transformer une exigence individuelle en un atout collectif et stratégique pour l’entreprise. Vers un travail porteur de sens La quête de sens n’est pas un mythe ni un luxe, mais une condition de bien-être et d'engagement durable. Les organisations qui sauront y répondre attireront et fidéliseront les talents, tout en cultivant une culture de confiance, de la performance et de la fidelité. Le sens au travail ne se décrète pas : il se construit, au croisement des aspirations individuelles et des ambitions collectives. Et si votre organisation faisait de ce levier un véritable moteur de croissance ?
En savoir plus
Danse et cerveau : comment le mouvement stimule la neuroplasticité et la mémoire
  • Article publié sur le site:
  • Auteur de l'article: Aurélie Kouéta
  • Étiquette de l'article: danse thérapie
  • Les commentaires sur les articles comptent: 0
Danse et cerveau : comment le mouvement stimule la neuroplasticité et la mémoire
Un cerveau qui se transforme tout au long de la vie La neuroplasticité désigne la capacité du cerveau à se remodeler en créant de nouvelles connexions neuronales. Longtemps considérée comme limitée à l’enfance, elle est désormais reconnue comme active tout au long de la vie adulte. Chaque nouvelle expérience, chaque apprentissage ou activité physique contribue à enrichir ce réseau. La danse, par sa combinaison unique de mouvement, de rythme, d’attention et d’émotion, est un puissant catalyseur de cette plasticité cérébrale. Danser, c’est entraîner son cerveau Contrairement à une activité physique répétitive, la danse sollicite plusieurs zones cérébrales en même temps : motricité, équilibre, mémoire, émotions, coordination et créativité. Apprendre ou improviser une séquence de danse active simultanément les hémisphères gauche et droit, renforçant la communication entre eux. C’est un entraînement complet pour le corps et l’esprit. Une étude publiée dans le New England Journal of Medicine (2003) a montré que la danse est l’une des activités les plus efficaces pour réduire les risques de déclin cognitif lié à l’âge. Elle stimulerait davantage la mémoire et les fonctions exécutives que la lecture ou les jeux de réflexion. Les bénéfices cognitifs de la danse 🔵Mémoire améliorée : mémoriser des chorégraphies ou improviser des enchaînements entraîne la mémoire de travail et la mémoire à long terme ; 🔵Concentration accrue : suivre le rythme, coordonner ses gestes et être attentif à ses sensations mobilise pleinement l’attention ; 🔵Créativité renforcée : en liant expression corporelle et imagination, la danse stimule l’innovation et la pensée divergente ; 🔵Résilience cognitive : la plasticité induite par le mouvement protège contre le vieillissement cérébral et certaines pathologies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer). Selon une étude de l’American Journal of Preventive Medicine (2021), les personnes pratiquant régulièrement la danse ont une meilleure santé cognitive et émotionnelle, avec une réduction des symptômes d’anxiété et une meilleure qualité de vie. Des bienfaits pour tous les âges Chez les enfants, la danse favorise le développement psychomoteur, la coordination et la confiance en soi. Chez les adultes, elle stimule la créativité et aide à gérer le stress. Chez les seniors, elle constitue un outil majeur de prévention du déclin cognitif et de maintien de l’autonomie. Ainsi, la danse est un langage universel qui soutient le cerveau à chaque étape de la vie. Mon accompagnement : éveiller le potentiel du corps et de l’esprit J’accompagne les personnes en individuel et en collectif à utiliser la danse comme outil de mieux-être et de stimulation cognitive. Mes propositions incluent : 🔵Des ateliers de danse libre pour stimuler la mémoire, la créativité et la confiance à travers l’improvisation ; 🔵Des séances adaptées aux seniors, favorisant la mobilité, la concentration et le lien social; 🔵Des pratiques personnalisées pour renforcer l’ancrage, l’attention et la régulation émotionnelle. Un cerveau qui danse reste vivant Danser, c’est offrir à son cerveau un terrain de jeu infini : chaque pas, chaque rythme, chaque geste nourrit la plasticité neuronale et renforce la mémoire. Au-delà de l’expression artistique, la danse est une ressource puissante pour entretenir l’esprit et le corps, cultiver la joie et prévenir le déclin cognitif. Et si vous faisiez danser votre cerveau dès aujourd’hui, un pas après l’autre ?
En savoir plus
Génération Z au travail : un défi intergénérationnel et une opportunité pour l’entreprise
  • Article publié sur le site:
  • Auteur de l'article: Aurélie Kouéta
  • Étiquette de l'article: Vie Professionnelle
  • Les commentaires sur les articles comptent: 0
Génération Z au travail : un défi intergénérationnel et une opportunité pour l’entreprise
Comment créer des ponts entre les générations, favoriser la coopération et renforcer la culture d’entreprise ? La Génération Z (née après 1997) fait aujourd’hui son entrée massive sur le marché du travail. Ses attentes, ses codes et ses valeurs viennent parfois bousculer les pratiques établies. Entre stéréotypes, incompréhensions et nouvelles dynamiques, le défi intergénérationnel est devenu une priorité pour les managers et les RH. La Génération Z : portrait d’une génération en quête de sens La Génération Z n’est pas seulement « jeune » : elle incarne un rapport au travail profondément renouvelé. Ses membres sont natifs du numérique, attachés à la flexibilité et à l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle. Mais surtout, ils cherchent une cohérence entre leurs valeurs et celles de leur employeur. Selon le Deloitte Global Gen Z & Millennial Survey (2024), 75 % des Gen Z considèrent que leur employeur doit avoir un impact positif sur la société, et 62 % déclarent qu’ils quitteraient un poste si les valeurs de l’entreprise n’étaient pas alignées avec les leurs. Les tensions intergénérationnelles : entre stéréotypes et malentendus Le dialogue entre générations peut rapidement se heurter aux clichés : 🔵 Les plus jeunes perçus comme « instables » ou « peu engagés » ; 🔵 Les plus expérimentés jugés « rigides » ou « réfractaires au changement » ; 🔵 Une fracture entretenue par ces représentations simplistes, fragilisant la cohésion des équipes. Une étude ManpowerGroup (2023) souligne que 58 % des managers estiment difficile de concilier les attentes intergénérationnelles. Pourtant, ces tensions révèlent avant tout un besoin de dialogue structuré et de reconnaissance mutuelle. La richesse de la diversité d’âge en entreprise  Au lieu de voir l’intergénérationnel comme un problème, il peut être perçu comme un atout stratégique. La diversité d’âge favorise la complémentarité : 🔵 L’expérience et la mémoire organisationnelle des générations plus anciennes ; 🔵 L’agilité et l’innovation des plus jeunes, notamment sur les usages numériques et les nouvelles pratiques de travail ; 🔵 La pratique du reverse mentoring : les jeunes transmettent leurs compétences digitales, tandis que les seniors partagent leur expertise métier et leur vision stratégique. Les entreprises qui valorisent cette diversité en font un levier de performance, d’innovation et d’attractivité. Trois générations au travail : repères pour mieux collaborer Comprendre les différences générationnelles peut servir de levier puissant pour favoriser la cohésion et l’efficacité collective. Voici une synthèse des caractéristiques de la Génération X, des Millennials et de la Génération Z : Génération Comportements & valeurs Attentes en entreprise Génération X Indépendants, pragmatiques, adaptables ; attachés à l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle. 🔵 Autonomie, clarté des objectifs, flexibilité sans supervision constante. Millennials (Gen Y) Collaboratifs, technophiles, en quête de sens et de feedback régulier. 🔵 Flexibilité, développement professionnel continu, reconnaissance fréquente. Génération Z « Digital natives », exigeants sur le sens, plus vulnérables psychologiquement, attachés à la stabilité et à l’inclusivité. 🔵 Impact sociétal, soutien à la santé mentale, environnement de travail sécurisé. Reconnaître ces différences générationnelles, c’est permettre à chaque collaborateur de se sentir compris, respecté et utile. Managers et RH peuvent ainsi adapter leurs formats d’accompagnement : bilans de compétences pour clarifier parcours et aspirations, ateliers intergénérationnels pour stimuler l’intelligence collective, et communication ajustée pour parler le même langage. Outils pour transformer les différences en synergies Managers et RH disposent de leviers concrets pour anticiper les tensions et créer une véritable culture intergénérationnelle : 🔵 Bilans de compétences : identifier les attentes et les forces de chaque génération, et éclairer les choix de carrière ou de mobilité interne. 🔵 Ateliers intergénérationnels : espaces de dialogue et de collaboration, ils favorisent la compréhension mutuelle et renforcent la cohésion des équipes. 🔵 Stratégie de communication interne : valoriser la diversité d’âge comme une richesse, partager des témoignages et des réussites communes. 🔵 Leadership inclusif : former les managers à accueillir la pluralité des points de vue, à adapter leur style et à créer un climat de confiance. Transformer un défi en opportunité La cohabitation intergénérationnelle est un défi, mais aussi une formidable opportunité d’innovation et de cohésion. En tant que consultante, j’aide les organisations à transformer ces différences en synergies, grâce à des bilans de compétences, des ateliers de cohésion et une communication adaptée qui valorise la richesse de chacun. L’enjeu intergénérationnel n’est pas d’effacer les différences, mais de les transformer en forces complémentaires. Une équipe où l’expérience dialogue avec l’innovation devient un levier stratégique pour affronter l’avenir et relever le défi.
En savoir plus
Intelligence émotionnelle et danse : développer la conscience de soi et la régulation relationnelle via le mouvement
  • Article publié sur le site:
  • Auteur de l'article: Aurélie Kouéta
  • Étiquette de l'article: danse thérapie
  • Les commentaires sur les articles comptent: 0
Intelligence émotionnelle et danse : développer la conscience de soi et la régulation relationnelle via le mouvement
Quand le corps devient un miroir des émotions L’intelligence émotionnelle — cette capacité à reconnaître, comprendre et réguler ses émotions et celles des autres — est un atout majeur dans la vie quotidienne comme dans les relations. La danse, et plus largement le mouvement, offre un terrain unique pour développer cette compétence : en bougeant, nous donnons une forme visible à notre monde intérieur et créons un langage partagé qui dépasse les mots. La conscience de soi par le mouvement Chaque geste exprime une émotion : une épaule contractée traduit souvent la tension, un pas léger évoque la joie, une posture fermée peut signaler la peur ou la tristesse. En danse libre ou en ateliers de mouvement, observer ses gestes permet de prendre conscience de ses états internes. C’est la première étape de l’intelligence émotionnelle : se connaître soi-même. Des recherches en psychologie du mouvement (Koch et al., 2019) montrent que la danse aide à développer cette « auto-perception incarnée », essentielle pour mieux identifier et nommer ses émotions. Régulation relationnelle : danser avec l’autre L’intelligence émotionnelle ne s’arrête pas à soi : elle inclut aussi la capacité à ajuster ses comportements dans la relation. La danse favorise cette dimension par des pratiques collectives : danser en miroir, improviser à deux, s’ajuster au rythme d’un groupe. Ces expériences corporelles développent l’écoute, l’empathie et la régulation des interactions. Selon une étude publiée dans Frontiers in Psychology (2020), les danses collectives augmentent le sentiment de connexion sociale et diminuent le stress relationnel, en stimulant l’ocytocine, l’hormone du lien. Des pratiques concrètes pour développer son intelligence émotionnelle par le mouvement 🔵Danse en miroir : reproduire les gestes d’un partenaire pour développer l’écoute et l’empathie ; 🔵Improvisation libre : explorer différentes émotions par le mouvement pour mieux les identifier et les apprivoiser ; 🔵Danse de groupe : ressentir l’énergie collective, réguler sa place dans le groupe et cultiver la coopération. Mon accompagnement : du mouvement vers une meilleure intelligence émotionnelle J’accompagne les personnes, en individuel comme en collectif, à explorer le langage du corps pour mieux se connaître, apaiser leurs émotions et renforcer leurs relations. Grâce à la danse-thérapie et à des outils issus de la PNL, je propose : 🔵Des séances individuelles pour développer la conscience de soi et transformer ses blocages émotionnels en ressources ; 🔵Des ateliers collectifs pour cultiver l’écoute mutuelle, l’empathie et la cohésion relationnelle ; 🔵Des rituels corporels simples à intégrer dans le quotidien pour renforcer son équilibre émotionnel. Un chemin incarné vers des relations plus conscientes Développer son intelligence émotionnelle par la danse, c’est apprendre à sentir avant de dire, à ajuster avant de réagir. Ce chemin par le corps permet non seulement de mieux se comprendre, mais aussi de construire des relations plus apaisées et authentiques. Et si le prochain pas de danse que vous ferez devenait aussi un pas vers une meilleure compréhension de vous-même et des autres ?
En savoir plus
Télétravail et hybridation : comment recréer de la cohésion ?
  • Article publié sur le site:
  • Auteur de l'article: Aurélie Kouéta
  • Étiquette de l'article: Vie Professionnelle
  • Les commentaires sur les articles comptent: 0
Télétravail et hybridation : comment recréer de la cohésion ?
Le défi des entreprises : équilibre entre flexibilité et collectif Le télétravail, accéléré par la crise sanitaire, s’est installé durablement dans les entreprises. S’il apporte flexibilité et qualité de vie, il met aussi à l’épreuve la cohésion des équipes et la culture d’entreprise. Comment recréer du lien dans ce nouvel environnement hybride ? Télétravail : un potentiel sous-exploité L’OCDE estime que 27 % des emplois pourraient être exercés à distance, mais seuls 12 % le sont réellement. En France, selon la Dares (2023), environ 30 % des salariés pratiquent le télétravail au moins un jour par semaine, avec de fortes disparités selon les secteurs (numérique, finance et communication en tête). Ce décalage illustre une tension : alors que les collaborateurs plébiscitent la flexibilité, les entreprises peinent encore à en faire un modèle cohérent, inclusif et durable. Recul ou ajustement : des entreprises reviennent en arrière Si le télétravail est largement adopté, certaines entreprises amorcent un retour partiel au présentiel. Selon une enquête Kastle Systems (2024), les taux d’occupation des bureaux aux États-Unis sont remontés à 50 % à 60 % en moyenne, contre moins de 30 % en 2021. En France, le baromètre Malakoff Humanis (2023) montre que 27 % des employeurs ont restreint le télétravail, invoquant une baisse de la créativité collective, des difficultés de management et un affaiblissement du sentiment d’appartenance. Ce phénomène traduit un enjeu stratégique : trouver le bon dosage entre flexibilité et performance organisationnelle. Les risques d’une organisation fragmentée Le télétravail et l’hybridation comportent des avantages évidents (réduction du temps de trajet, meilleure conciliation vie pro/vie perso, autonomie accrue), mais aussi des risques qu’il serait dangereux de sous-estimer : 🔵Isolement : un salarié sur deux en télétravail déclare se sentir plus isolé qu’avant (Baromètre Malakoff Humanis 2023) ; 🔵Dilution de la culture d’entreprise : les valeurs et rituels partagés perdent en intensité à distance  🔵Déséquilibre collectif : tensions entre ceux qui télétravaillent et ceux présents sur site, risques d’iniquité perçue. Ces fragilités pèsent directement sur l’engagement, la créativité et la fidélisation des talents. Les défis organisationnels : au-delà de l’humain Au-delà des enjeux psychologiques, l’hybridation soulève des défis structurels pour les entreprises : 🔵Réorganisation des espaces de travail : bureaux partagés, flex office et coûts immobiliers redéfinissent la logistique interne ; 🔵Sécurité numérique et confidentialité : la généralisation des outils digitaux multiplie les risques cyber et nécessite des investissements renforcés ; 🔵Équité et évaluation de la performance : comment garantir des critères justes entre salariés présents sur site et à distance ? Ces dimensions organisationnelles sont aussi stratégiques que les aspects humains pour assurer la pérennité du modèle hybride. Mon accompagnement : renforcer la cohésion dans l’hybride J’accompagne les professionnels et les organisations à transformer le télétravail et l’hybridation en leviers de performance collective, grâce à : 🔵Des ateliers de cohésion et de régulation pour recréer du lien, favoriser la confiance et renforcer la dynamique d’équipe ; 🔵Des bilans de compétences pour aider chaque collaborateur à clarifier sa trajectoire dans un contexte mouvant ; 🔵Des séances de PNL pour gérer les résistances et renforcer la résilience émotionnelle ; 🔵Une communication interne adaptée pour maintenir transparence et sentiment d’appartenance. Vers une nouvelle culture du travail Le télétravail et l’hybridation ne sont pas une parenthèse mais une transformation durable. Les entreprises qui sauront allier flexibilité et cohésion construiront un avantage compétitif décisif : attirer et fidéliser les talents tout en cultivant une culture vivante et partagée. La question n’est plus de savoir si le travail hybride va s’imposer, mais comment le transformer en une opportunité collective plutôt qu’en risque de fragmentation.
En savoir plus
Danse et résilience : comment le mouvement aide à traverser les épreuves de vie
  • Article publié sur le site:
  • Auteur de l'article: Aurélie Kouéta
  • Étiquette de l'article: danse thérapie
  • Les commentaires sur les articles comptent: 0
Danse et résilience : comment le mouvement aide à traverser les épreuves de vie
Le corps comme allié face aux tempêtes de la vie Chaque épreuve laisse une empreinte dans le corps. Deuil, séparation, maladie, perte d’emploi, burn-out : ces chocs ne sont pas seulement psychologiques, ils s’inscrivent aussi dans nos postures, nos respirations et nos tensions. La danse et le mouvement offrent une voie d’expression unique pour libérer ces empreintes et retrouver un sentiment d’équilibre. Là où les mots manquent, le corps parle. Un héritage universel : la danse comme rituel de vie Depuis la nuit des temps, les êtres humains dansent pour traverser les grands passages de l’existence. Naissances, mariages, moissons, victoires, deuils : chaque culture a utilisé la danse comme un rituel collectif pour célébrer, apaiser ou transformer l’expérience humaine. Chez les peuples premiers comme dans les traditions spirituelles, le mouvement collectif aide à donner du sens à l’inexplicable, à partager la peine comme la joie, et à se relier à quelque chose de plus grand que soi. Cette dimension rituelle explique pourquoi, encore aujourd’hui, la danse conserve un pouvoir particulier : elle relie le corps, l’émotion et la communauté. Danser, c’est renouer avec cet héritage universel de résilience et de transformation partagée. Pourquoi le mouvement favorise la résilience La résilience, ce processus par lequel nous transformons une blessure en force intérieure, repose autant sur le psychisme que sur le corps. Le mouvement agit comme un catalyseur : 🔵Il libère les tensions accumulées : en dansant, les contractions physiques liées au stress se relâchent, ouvrant un espace d’apaisement ; 🔵Il redonne du rythme : retrouver une cadence corporelle, même simple, aide à réguler les émotions et à réintroduire une stabilité après le chaos ; 🔵Il reconnecte à la joie : bouger sur une musique qui inspire réactive les circuits du plaisir et stimule la sécrétion d’endorphines, « hormones du bien-être » ; 🔵Il restaure un sentiment de puissance : choisir ses mouvements, aussi petits soient-ils, redonne la sensation d’avoir prise sur sa vie. Le rôle du mirroring : se sentir reconnu par le mouvement En danse-thérapie, le mirroring (ou effet miroir) consiste à refléter les mouvements d’une autre personne. Ce processus simple a un impact profond : il transmet le message « je te vois, je t’entends, je reconnais ton vécu ». Des études en neurosciences montrent que ce phénomène active les neurones miroirs, impliqués dans l’empathie et la connexion sociale. Lorsqu’un thérapeute, un accompagnant ou même un partenaire reflète les gestes d’une personne en souffrance, cela peut réduire son sentiment d’isolement et favoriser la régulation émotionnelle. Dans le cadre d’un groupe, cette pratique renforce aussi la cohésion et le soutien mutuel : chacun devient le témoin vivant du chemin de l’autre. Témoignages : quand la danse devient une ressource De nombreuses personnes témoignent de la manière dont la danse les a aidées à traverser des épreuves. Une femme ayant vécu un deuil explique : « Les mots me manquaient, mais en dansant, j’ai trouvé un langage qui m’a permis de respirer à nouveau. » Un autre, en convalescence après un burn-out, décrit comment des mouvements simples de danse libre l’ont aidé à retrouver son énergie et sa confiance au quotidien. Mon accompagnement : transformer le mouvement en chemin de résilience J’accompagne en individuel et en collectif celles et ceux qui traversent des épreuves de vie, en proposant : 🔵Des séances de danse libre pour exprimer ce qui ne peut pas toujours se dire et relancer la circulation de l’énergie ; 🔵Des rituels corporels personnalisés pour retrouver ancrage et sérénité au quotidien ; 🔵Un travail de mirroring pour favoriser la reconnaissance mutuelle, restaurer la confiance et renforcer la connexion aux autres ; 🔵Un cadre bienveillant pour accueillir les émotions, restaurer la confiance et ouvrir un espace d’apaisement. Danser pour se relever La résilience ne consiste pas à effacer l’épreuve, mais à apprendre à vivre avec et à s’enrichir de ce qu’elle nous enseigne. La danse, en redonnant au corps son langage et sa puissance, offre un chemin d’apaisement et de reconstruction. Elle nous rappelle que même dans les moments les plus sombres, il est possible de retrouver un mouvement, un souffle, une vibration de vie. Et si votre danse devenait votre premier pas vers la résilience ?
En savoir plus
Comprendre et réussir les transitions professionnelles : les 5 phases du changement selon Virginia Satir
  • Article publié sur le site:
  • Auteur de l'article: Aurélie Kouéta
  • Étiquette de l'article: Vie Professionnelle
  • Les commentaires sur les articles comptent: 0
Comprendre et réussir les transitions professionnelles : les 5 phases du changement selon Virginia Satir
Mieux accompagner les transitions professionnelles Le modèle des 5 phases du changement de Virginia Satir offre une grille de lecture précieuse pour accompagner les transitions professionnelles : reconversion, réorganisation ou management du changement. Comprendre l'impact du changement avec humanité et lucidité Dans le monde professionnel, chaque changement — réorganisation, reconversion, évolution des pratiques — constitue un parcours émotionnel complexe. Il débute souvent sous le signe de l’enthousiasme, mais se confronte rapidement à la peur, à l’incertitude ou à la surcharge mentale, qui viennent ralentir l’élan initial. Virginia Satir, figure majeure de la thérapie familiale et de la PNL, a identifié cinq phases universelles dans tout processus de changement. Les comprendre, c’est déjà se donner les moyens de les traverser avec clarté et sérénité. Les 5 phases universelles du changement (selon Virginia Satir) 🔵Phase 1 : Le statu quo : la zone de confort rassurante Chaque organisation s’appuie sur ses routines et ses repères. Ce cadre rassurant permet la stabilité, mais il peut aussi rendre aveugle aux opportunités. Ce « cocon » constitue le point de départ du processus, mais il peut devenir une limite s’il est trop figé. 🔵Phase 2 : La résistance : la peur de l’inconnu À l’annonce d’un changement, 37 % des collaborateurs manifestent une résistance, liée au manque de confiance (41 %), à l’incertitude (38 %), ou encore au sentiment d’être exclus (23 %). Cette réaction n’est pas un refus en soi, mais un mécanisme humain visant à préserver un équilibre menacé. 🔵Phase 3 : Le chaos : la perte de repères Cette phase, souvent redoutée, correspond à l’effondrement des anciens repères et à l’installation d’une période de désordre. Elle est inconfortable, mais elle représente également un moment fécond : c’est dans ce chaos que s’opère le deuil de l’ancien et que naissent des perspectives nouvelles. 🔵Phase 4 : Prise de conscience, adaptation et apprentissage actif Peu à peu, de nouveaux repères se construisent. Les équipes expérimentent, testent, échangent et apprennent. Le rôle du management et de la communication interne est alors déterminant : donner du sens, clarifier les étapes, écouter et accompagner permettent d’apaiser les craintes et de renforcer la confiance collective. 🔵Phase 5 : Nouveau statu quo — une stabilité retrouvée Une fois le changement intégré, un nouvel équilibre émerge : plus souple, plus agile, mieux préparé à évoluer. Ce nouvel état n’est pas un simple retour à la stabilité initiale, mais une transformation enrichie par l’expérience vécue. Pourquoi ce modèle parle aux entreprises aujourd’hui Les chiffres soulignent l’importance de cet enjeu : seuls 43 % des salariés estiment que leur organisation sait gérer les changements efficacement — contre près de 60 % en 2019. De plus, 70 % des initiatives de transformation échouent, souvent en raison d’une communication insuffisante ou d’un accompagnement mal adapté. À cela s’ajoute une dimension humaine forte : 73 % des salariés concernés par une transformation déclarent ressentir un stress moyen à élevé. Quant aux dirigeants, 38 % de ceux issus d’entreprises de plus de 1 000 salariés affirment qu’ils préféreraient ne plus avoir à piloter de transformations, tant la « fatigue du changement » est devenue une réalité. Ces données démontrent combien il est essentiel d’allier stratégie, compréhension des mécanismes humains et communication adaptée pour réussir les transitions professionnelles. Les bénéfices de l’accompagnement au changement Pour réussir le changement, concilier lucidité stratégique et bienveillance est non seulement possible, mais indispensable. J’accompagne les professionnels et les entreprises dans leurs transitions grâce à une approche centrée sur l’humain et l’intelligence collective : Des séances de PNL pour apaiser les résistances, redonner du sens et renforcer la confiance ; Des tests psychométriques pour évaluer l’état interne, cartographier les forces et éclairer les décisions stratégiques ; Une stratégie de communication adaptée, fondée sur l’écoute et l’empathie, associée à des ateliers favorisant la cohésion et le développement du bien-être au travail. Si vous traversez une phase de changement et souhaitez être accompagné dans ces défis, je serai ravie de vous soutenir. Le modèle de Virginia Satir nous rappelle une vérité trop souvent négligée dans les organisations : le changement est avant tout un cheminement humain. Accueillir les résistances, révéler les ressources et tracer un cap pour sortir du chaos, tout en s’appuyant sur une communication active et bienveillante, permet de faire émerger une stabilité réinventée, durable et profondément humaine. Dans quelle phase du changement vous situez-vous — ou situez-vous votre équipe — aujourd’hui ?   Voir ma video sur youtube  
En savoir plus
Le corps comme langage : pourquoi le mouvement en dit plus que les mots
  • Article publié sur le site:
  • Auteur de l'article: Aurélie Kouéta
  • Étiquette de l'article: danse thérapie
  • Les commentaires sur les articles comptent: 0
Le corps comme langage : pourquoi le mouvement en dit plus que les mots
Quand le corps parle avant les mots Nous communiquons bien au-delà du langage verbal. Postures, gestes, micro-mouvements, respiration, regard : le corps transmet en permanence des messages souvent plus authentiques que ceux que l’on exprime avec des mots. Selon les travaux de Albert Mehrabian, jusqu’à 93 % de notre communication passe par le non-verbal (intonation, gestes, expressions), contre seulement 7 % par le contenu verbal pur. Cela ne signifie pas que les mots ne comptent pas, mais que leur sens est toujours coloré par le langage corporel qui les accompagne. Le mouvement, reflet des états intérieurs En psychologie, on considère le corps comme un miroir de nos états internes : stress, joie, anxiété ou confiance se lisent dans la posture et la dynamique corporelle. Par exemple : 🔵Des épaules voûtées traduisent souvent une fatigue ou un repli sur soi ; 🔵Un rythme de marche rapide peut refléter une agitation intérieure ; 🔵Une respiration fluide et ample traduit généralement une certaine sérénité. En PNL, ces signaux sont appelés indices d’accès : ils permettent de repérer comment une personne vit une situation (par exemple, si elle se connecte davantage à ses émotions, à ses images mentales ou à son raisonnement logique). Le corps devient ainsi une porte d’entrée vers la compréhension des schémas intérieurs. Communication non verbale : entre conscience et inconscient Une grande partie de notre langage corporel échappe à notre conscience. Nous pouvons choisir nos mots, mais beaucoup moins nos micro-expressions ou nos gestes spontanés. C’est pourquoi le corps est souvent perçu comme plus sincère que la parole. Il révèle ce que nous ressentons vraiment, même quand nous essayons de le masquer. Cette dimension est particulièrement explorée en danse-thérapie, où les mouvements deviennent une manière de décoder et d’exprimer des vécus émotionnels parfois inaccessibles à la seule parole. Le corps comme outil de régulation émotionnelle Le langage corporel n’est pas seulement un reflet : il peut aussi devenir un levier. Bouger différemment, changer de posture, respirer plus profondément influence directement nos émotions et notre état d’esprit. Des études en neurosciences montrent que redresser sa posture ou adopter une respiration plus ample active des circuits de confiance et réduit la perception de stress. Ainsi, le langage du corps devient aussi un outil de transformation intérieure. Mon accompagnement : écouter et libérer le langage corporel Dans mes accompagnements, individuels ou collectifs, j’invite chacun à prendre conscience de son langage corporel et à l’utiliser comme un allié plutôt qu’à le subir : 🔵Des bilans de compétences intégrant l’écoute du corps pour relier parcours professionnel et alignement personnel ; 🔵Des séances de PNL pour observer les signaux non verbaux et ouvrir de nouvelles perspectives de communication et de confiance ; 🔵Des ateliers de danse libre pour libérer les tensions, exprimer ce qui ne se dit pas et transformer les blocages en mouvements fluides. L’idée n’est pas d’interpréter mécaniquement les gestes, mais d’offrir un espace pour que chacun puisse écouter ce que son corps dit — et apprendre à s’en servir comme ressource. Vers une communication plus authentique Le langage du corps n’est pas un supplément, mais le cœur de notre communication. Le reconnaître, c’est ouvrir la voie à des échanges plus authentiques, à une meilleure compréhension de soi et des autres, et à un mieux-être relationnel et émotionnel. Et si, au lieu de chercher toujours les bons mots, vous commenciez à écouter les messages silencieux que votre corps vous envoie ?
En savoir plus